Nous installons un nouveau séchoir qui comprendra de grands « couloirs » de 1,7m et 3,4 m de large pour 13 mètres de long au fond desquels sont présents des ventilateurs envoyant de l’air chauffé (35°C) pour sécher les graines.
Des employés viennent déposer via chariot élévateur des caissons comportant les graines (du fond du séchoir vers l’avant).
Il n’y a qu’une entrée/sortie à ce couloir de 13m de long.
On nous fait remarquer que nous dépassons les 10m de long et que nous rentrons dans la catégorie « cul de sac ». Qu’en est-il à votre avis ?
Sachant qu’il n’est techniquement pas possible d’avoir une porte à l’autre bout du séchoir pour des raisons techniques (présence du ventilateur et installations apparentées) et logiques (des caissons bois viendront bloquer le passage puisqu’ils seront imbriqués les uns à la suite des autres dans ce couloir, donc aucun passage ne sera possible de l’autre côté une fois un caisson placé). Au fur et à mesure que les caissons seront placés dans le séchoir, la distance entre une personne/chariot élévateur et la porte de sortie, diminuera (elle n’est donc de 13m qu’au début de la mise en route).
Réponse :
Le blog serait curieux de savoir l’origine du « on ».
Car il s’agit ici, il nous semble, d’un process de production et le tunnel du séchoir est le local lui-même et non une circulation en cul-de-sac. Cette contrainte en code du travail ne s’applique pas à l’intérieur d’un local quelle que soit la forme qu’il puisse prendre.
Le lecteur est informé que la réponse donnée ci-dessus l’est uniquement à titre consultatif.